Mari toxique ou relation abîmée ? Ce que vous devez savoir.

Chère sœur, si vous êtes à ce carrefour douloureux, cet article est pour vous.

1. Quand le mariage devient un isolement à deux

Vous tirez la sonnette d’alarme.Vous tentez de lui parler.
Mais lui… il soupire.

« Tu cherches toujours les problèmes. »
« Tu me prends la tête pour rien. »
« Je fais déjà tout, qu’est-ce que tu veux de plus ? »

Alors vous vous taisez.
Pas par paix. Par épuisement.
Fatiguée de devoir justifier votre douleur.
Fatiguée de passer pour l’ingrate, l’insatisfaite, celle qui en fait trop. Il ne comprend pas que vous avez soif d’amour. Comme beaucoup d’hommes, il croit que mettre un toit sur votre tête et un plat sur la table suffit.

Et doucement… votre cœur se ferme.
La tendresse s’efface. La rancune s’installe.
Les tensions deviennent des douleurs. Des insomnies.

2. Mari toxique ou mari coupé de ses émotions ?

Vous donnez. Vous pardonnez et vous espérez.
Mais rien ne change.
Et vous vous épuisez, seule, à essayer de recoller les morceaux.

Ce mari, censé vous rassurer, vous protéger…reste enfermé dans son mutisme.
Ni gestes tendres. Ni paroles douces.
Juste ce vide. Devenu votre quotidien.

Vous vous sentez seule, même au sein du couple.
Invisible. Incomprise. Épuisée.
Comme une intouchable.
Vous ressentez cruellement le manque d’un geste tendre : un câlin, une main posée dans le dos…
Mais rien. Le néant.

Puis un jour, au détour d’un scroll, une influenceuse affirme, avec fermeté :
« Un homme qui ne donne rien est toxique. Tu dois divorcer. Tu mérites mieux»

Et cette phrase reste en vous.
Elle tourne. Elle frappe, elle fait peur.
« Je crois qu’il est toxique. »

Et peut-être qu’il l’est…Mais il ne coche pas toutes les cases de l’homme toxique.

Il n’est pas violent, il ne vous insulte pas.
Il ne cherche pas à vous manipuler ni à vous détruire.
Mais il vous délaisse.
Et son indifférence vous fait mourir à petit feu.

Votre époux est émotionnellement déconnecté.

Il ne sait plus — ou peut-être n’a-t-il jamais su — se relier à vous par le cœur.
Il évite l’intimité émotionnelle. Pas par cruauté… mais par honte.
Beaucoup d’hommes ont grandi sans jamais apprendre à parler de leurs émotions.
On leur a appris à être forts, à ne pas pleurer, à avancer coûte que coûte.
Les hommes ont tendance à compartimenter leurs émotions, à privilégier l’action plutôt que l’expression affective.¹
Ils se protègent. Ils fuient ce qui les rend vulnérables.

Alors aujourd’hui, face à votre tristesse, votre besoin d’être entendue, il se braque.
Il pense qu’il suffit de payer les factures pour être un bon mari.

3. Ce que vous ressentez est valide

Vous vous sentez ignorée par votre époux. Abandonnée ou rejetée. Ce n’est pas rien.
Le silence blesse. L’indifférence fait mal. Et ce vide que vous ressentez chaque jour, ce n’est pas un caprice. C’est une douleur réelle.

Vous n’entendez jamais “je t’aime” ? Et ça laisse des traces.
Cela crée un manque. Un besoin profond d’être choisie, désirée, rassurée.
Et c’est humain. De nombreuse femmes ressentent ce tiraillement :
“Je l’aime… mais il est si distant avec moi.”

Votre couple traverse peut-être une étape délicate.
Après de nombreux conflits, la distance s’est installée.
Vous dérivez lentement l’un de l’autre, devenez presque des colocataires.

Ce n’est pas “dans votre tête”. C’est une alerte. Un cri du cœur. Et il mérite d’être entendu. Mais attention…

Votre ressenti est légitime sans être forcément le reflet exact de la réalité.

Car parfois, ce que l’on ressent est amplifié par :

• des blessures anciennes non guéries
• des attentes silencieuses, mais profondément déçues
• des projections nourries par les réseaux sociaux
• des communications absentes, ou maladroites
• ou simplement deux êtres qui ne savent plus comment se parler

Alors oui :
Accueillez ce que vous ressentez. Écoutez-vous.
Ne minimisez rien. Ne portez pas de masque. Mais ne condamnez pas non plus trop vite.

4. La signification de son éloignement

Quand l’épreuve éduque l’âme

Et si cet éloignement était, en vérité, une épreuve divine ?
Un passage douloureux, oui, mais nécessaire… pour vous mener à la meilleure version de vous-même.

Alors posez-vous avec honnêteté :

• Est-ce de l’amour ou de la dépendance ?
• L’aimez-vous en Allah ou seulement pour ce qu’il vous donne ?
• Êtes-vous en paix, ou constamment agitée intérieurement ?
• Donnez-vous sans limite par peur de le perdre ?
• Vous êtes-vous oubliée, sacrifiée, pour ne pas être abandonnée ?

Et si, au lieu de penser :
“Il me blesse exprès. Il va m’abandonner.”
… vous osiez penser :
“Et s’il était aussi perdu que moi ?” 

Lui aussi a ses blessures, ses luttes intérieures… que vous ne voyez pas. Mais ces combats là… ne vous appartiennent pas.
Ce n’est pas à vous de les résoudre.
C’est à lui de les regarder en face, de les comprendre, de les traverser.

Dans cet article, je vous invite à revenir à votre responsabilité personnelle.
Celle de vous occuper de vous. De reprendre votre place. De vous recentrer.
Parce que c’est là que commence toute transformation profonde dans le couple : quand chacun se regarde avec lucidité… et choisit de grandir.

Vous devenez victime de votre égo.

Vous luttez pour être vue, entendue, reconnue.
Mais dans ce déséquilibre… vous vous oubliez.
Vous vous épuisez.
Et sans même vous en rendre compte, vous vivez dans le manque. Dans la frustration.

Dans la rage contenue, vous devenez amère. Toujours dans l’attente.

Et vous vous dites que vous ne donnerez plus… tant qu’il ne donnera pas.

Lourds est votre cœur. Accablé par des questions sans réponse.
Mais la vérité, c’est que vous êtes trop tournée vers lui.
Trop concentrée sur ce qu’il ne fait pas, ce qu’il ne dit pas, ce qu’il ne donne pas.

Et pendant ce temps-là… vous vous perdez.

Prenez une pause. Éloignez-vous du bruit. Coupez les comparaisons, les jugements extérieurs.
Faites une douʿa pour vous, pour lui, pour votre couple. Laissez votre cœur s’exprimer dans le silence de la prière.

5. At-tawakkul: Une confiance inébranlable en Allah ﷻ

Son éloignement vous enseigne peut-être une chose essentielle :
Apprendre à vivre avec le silence.
À accueillir le doute.
À faire confiance à Allah en vous abandonnant totalement à Lui…à lâcher prise.

Et ça, c’est un des plus grands pouvoirs qu’une femme peut acquérir :
La paix, même au milieu de l’incompréhension.
La force mentale, même face à l’attente.
L’ancrage en Dieu, même lorsque l’humain déçoit et s’éloigne. C’est là que naît le tawakkul.

Ce n’est pas une simple confiance : c’est une confiance inébranlable, profonde, vivante.
Elle ne consiste pas à attendre passivement que les choses changent.
Au contraire, c’est agir avec foi, avancer avec sérénité, tout en remettant le résultat à Allah — sans crainte, sans désespoir.

C’est ainsi que vous retrouvez votre souveraineté intérieure, votre paix, même au cœur du chaos.
Et lorsque vous vous relevez, ce n’est pas parce que la situation a changé…
Mais parce que vous, vous avez changé.

Attention à qui vous suivez sur les réseaux sociaux

Dans cette ère d’hyperconnexion, de réponses instantanées et d’ego blessé, souvenez-vous:

Ce que vous ressentez peut être amplifié par les projections constantes sur les réseaux sociaux.
Faites attention à qui vous suivez.

Trop d’influenceuses parfois blessées elles-mêmes, vous incitent à tout quitter à la moindre difficulté, à appeler « toxique » ce qui n’est parfois qu’un couple désaligné… et à fuir ce qui pourrait être réparé avec patience, dialogue, foi et miséricorde.

6. Ce n’est pas un mari toxique, mais vous êtes déconnectés

Parfois, la vraie toxicité c’est une relation qui s’est abimée. Un lien qui s’est déformé, au fil des non-dits, des blessures, des piques, des attentes irréalistes.

Peu à peu, le lien émotionnel se rompt.
Et vous appelez cela « toxique ». 

Il ne vous prend plus dans ses bras ?
Il ne dit pas « je t’aime » ?

Mais avoir un lien émotionnel, ce n’est pas simplement cohabiter sous le même toit.
C’est se sentir proche, soutenu, valorisé, important pour l’autre.

Alors, posez-vous la question :
Est-ce vraiment lui ?
Ou est-ce vous deux, perdus dans une relation qui a perdu son sens, son langage, sa tendresse ?

Car bien souvent, ce ne sont pas les grandes crises qui abîment le couple,
mais des erreurs subtiles, répétées, que l’on ne voit pas toujours venir.

Le silence ne signifie pas toujours le désamour. Il peut être une forme de survie. Ou le réflexe d’un homme qui n’a jamais appris à aimer autrement.

Il ne vous offre pas de fleurs ? Peut-être qu’il ne sait pas que c’est important pour vous. Il ne dit pas « je t’aime » ? Peut-être qu’il le montre à sa manière : en mettant du carburant dans votre voiture ou en achetant vos olives préférés (Petite dédicace à mon mari)

Il pense à vous faciliter la vie, à alléger votre charge, à vous soutenir dans l’ombre.
C’est sa manière d’aimer.

C’est un autre langage de l’amour ². Un langage discret, souvent mal compris. Et vous, vous attendez un langage qu’il ne parle pas.
Parfois, l’amour ne brille pas, ne s’exhibe pas. Il agit, sert, il protège.
Et si on ne sait pas le reconnaître, on peut croire qu’il n’existe pas.

Peut-être que ce qui vous fait souffrir, ce n’est pas qui il est, mais ce que vous espériez qu’il soit. Sans jamais lui avoir dit.

 7. Ce que vous attendez… l’avez-vous vraiment exprimé ?

Vous voulez des mots doux. Il vous offre le silence. Vous voulez des gestes d’amour ? Il vous donne son linge sale. Vous attendez un cœur ouvert. Il se ferme.

Mais lui avez-vous dit ce dont vous avez besoin ?
Ou avez-vous espéré  qu’il le devine ?

Vous souffrez peut-être… d’un amour idéalisé.
Celui des réseaux, des films, des contes de fées.
Pas de l’amour réel, qui se construit, se travaille, s’apprend en cheminant ensemble vers Dieu.

Connaissez vous le but du mariage en islam? Votre vision du couple, d’où vient-elle vraiment ?
Elle vient souvent d’Instagram, de TikTok, des dramas turcs. De ces images lisses, idéales, presque irréelles.
De ces couples qui rient ensemble en story, mais dont vous ne connaissez rien des coulisses.

Vous souffrez car vous attendez ce qu’il ne sait pas donner. Parce que votre cadre de référence, c’est ce que vous voyez sur les réseaux…
On vous a promis un amour fluide, un homme présent, des fous rires, des complicités.

Mais la réalité ? C’est parfois l’éloignement, la fatigue, l’épuisement. L’ennui. L’incompréhension. Et le silence qui abîme.

8. Le mariage en islam : un acte d’adoration

« Et Il a placé entre vous de l’affection et de la miséricorde. »
(Sourate Ar-Rûm, v.21)

Le mariage est un engagement solennel, un partenariat spirituel.
Ce n’est pas une scène romantique. Non, c’est l’intention profonde : aimer en cheminant ensemble vers Dieu.

Vous voulez qu’il change ? Qu’il soit plus tendre ? Mais vous, quand avez-vous invoqué pour lui ? Quand avez-vous demandé à Allah d’adoucir son cœur ? 

Quand avez-vous déposé vos larmes devant Le Créateur, et non devant vos d’amies ?

Vous voulez qu’il fasse des efforts ? Et vous, faites-vous le vôtre pour l’amour de Dieu? Ou bien êtes-vous là à compter les points ?

À attendre qu’il fasse le premier pas ? Toute en lui faisant des reproches.

À vous plaindre intérieurement de ce qu’il ne donne pas… sans regarder ce que vous, vous semez chaque jour ?

9. La patience dans le couple

On vous a dit : « Sois patiente. » Que le mariage prend du temps, que les choses ne s’arrangent pas tout de suite.
On vous a parlé de sabr — cette patience noble et silencieuse qui endure.

Mais on a oublié de vous dire ceci :
Le sabr ne veut pas dire se taire jusqu’à s’éteindre.
On ne vous a pas appris à parler vrai.
À dire : J’ai mal sans crier. J’ai besoin sans accuser.
À poser vos limites sans menace. Et à exprimer vos attentes sans honte.

Le sabr, c’est savoir quand se taire et savoir quand parler avec sagesse.
C’est choisir le bon moment, le bon ton, la bonne intention.

Tout en faisant votre devoir d’épouse avec une niyyah (intention) pure, non pas pour être récompensée par votre époux… mais pour satisfaire Allah. Parce que quand vous faites les choses pour Allah, rien n’est perdu.

10. Reconnectez-vous à Allah… pour vous reconnecter à vous-même

Avant de chercher des fleurs, cherchez la paix.
Parce que si vous ne savez pas qui vous êtes devant Dieu, vous ne saurez jamais vous positionner devant votre mari.

La véritable transformation commence là : dans la douʿa, la prière, la gratitude, le repentir.

Les autres vous diront : « Part, tu mérites mieux. »
Mais elles parlent parfois depuis leurs blessures, pas depuis la sagesse. Et Shaytan, lui, enjolivera leurs mots, attisera les tensions.

Parce qu’aujourd’hui, dans une époque où l’individualisme est roi,
où le mariage est devenu un bien consommable, et le bonheur, une quête instantanée,
il semble plus facile de fuir que de réparer.
Plus simple de divorcer… que de sauver son mariage.

Mais vous, en tant que croyante, vous savez que votre but n’est pas le confort à tout prix.
Votre but, c’est d’adorer Allah.
Et le mariage, malgré ses épreuves, est un terrain propice à cette adoration.

C’est un espace où l’âme peut se purifier … si elle s’accroche à Dieu plutôt qu’à l’ego.

Aimer son époux ne signifie pas le porter sur vos épaules.
Cela signifie marcher ensemble, côte à côte.
Et cela demande du temps, de la patience… et de la maturité émotionnelle.

Les hommes aussi portent la peur d’aimer, la peur de décevoir, de se montrer vulnérable.

Et si vous lui laissiez le temps ?
Et si, au lieu de le scruter, vous choisissiez de vivre pleinement ?
Apprenez à vous prioriser, non pas dans l’égoïsme, mais dans l’alignement spirituel.
Priorisez votre lien avec Allah pour retrouver votre paix.
Cessez d’attendre que quelqu’un vienne vous rendre heureuse.

Abandonnez l’urgence de tout résoudre maintenant. Cela fait partie du sabr.
Faites une pause. Reposez-vous. Priez. Pleurez s’il le faut. Mais ensuite, relevez-vous.

Et maintenez le cap : l’intention sincère de cheminer vers Dieu.

11. Purification du cœur

On vous a fait croire que l’amour, c’était simple. Fluide. Spontané.
On vous a montré que l’amour devait se voir, se photographier.
Mais on ne vous a pas dit que l’amour véritable… ça s’apprend.

Qu’il demande du travail de la patience, du pardon.
De la maturité émotionnelle.
Et surtout… une communication sincère.

Vous n’avez pas besoin de tout comprendre, ni de tout contrôler.
Vous avez seulement besoin de savoir que ce qui vous est destiné par Allah ne vous échappera pas.

Et lorsque vous faites confiance à Allah…
Vous entrez dans un espace nouveau.
Un espace de paix intérieure, où le manque s’apaise.
Vous cessez de mendier de l’amour, de le supplier intérieurement, de courir après lui pour être rassurée.

Vous commencez à vous tourner vers l’intérieur. Vers votre cœur.

Vous l’observez avec douceur, vous le purifiez des croyances erronées sur le mariage,
des attentes irréalistes, des projections, des illusions…

Vous ne serez plus la même.
Cette épreuve vous transformera.
Elle vous rendra capable d’un amour plus profond, plus enraciné, plus aligné avec qui vous êtes vraiment.

Vous retrouverez votre force, votre dignité, votre souveraineté intérieure.
Vous deviendrez une nouvelle femme.
Non pas en changeant pour plaire, mais en renaissant pour vous, pour l’agrément de Dieu.

Alors vivez. Épanouissez-vous. Fleurissez.
Aimez avec la même intensité que celle que vous souhaitez recevoir.
Offrez-vous ces fleurs que vous espérez tant recevoir.
Mettez ce parfum qui vous donne le sourire.
Prenez soin de vous avec tendresse et rahma (miséricorde).

Commencez à vous donner ce que vous attendez de lui.

Arrêtez de vous oublier. Arrêtez de remettre votre vie à plus tard.
Ne mettez pas votre bonheur entre ses mains.
Remettez-le entre celles d’Allah.

Il y a une beauté immense dans le fait de réparer son mariage

Personne ne vous l’a dit, mais le mariage, ce n’est pas une belle histoire à filtrer sur Instagram.
Ce n’est pas un amour parfait, fluide, éternellement passionné.
C’est un formidable terrain d’épreuves.
Un effort de l’âme.

C’est l’endroit où Dieu nous façonne, nous polit, nous éduque.

À l’heure où l’idéologie moderne monte les femmes contre les hommes et fait du bonheur une idole,
On oublie que le mariage est un acte d’adoration, un engagement  immense devant Allah.

On vous répète que vous ne devez pas souffrir.
Mais on oublie de vous dire que la souffrance fait partie de la vie, que chaque lien profond comporte des défis, des blessures, des tests.
Et que dans ces épreuves… se cache une sagesse, une purification, une opportunité de grandir.

Après 25 ans de mariage, je ne vous parle pas en théorie.
Je vous parle avec le cœur d’une femme qui a pleuré, douté, chuté mais qui s’est relevée. J’ai appris, avec les années, à entretenir ce lien sublime. À déposer mes douleurs au pied de mon Seigneur au lieu de les jeter sur mon mari. Et par la Grâce d’Allah j’en suis mille fois récompensé parfois même d’une façon que je n’imaginais même pas. Le mariage c’est intense, c’est dure, c’est éprouvant mais ça en vaut la peine.

Et aujourd’hui, mon seul désir est que mon expérience serve.
Serve à rappeler la noblesse de rester,
la force de reconstruire,
et l’honneur de sauver ce que le monde vous pousse à jeter.

Parce que le mariage est une mission qui reforme l’âme. Un chemin vers Dieu.
Et ceux qui choisissent de le traverser avec foi, conscience et patience… récolteront bien plus que de l’amour

Soyez douce avec vous-même.
Juste avec votre époux.
Soyez sincère avec Allah.

1. Pourquoi les hommes n’écoutent jamais rien et les femmes ne savent pas lire les cartes routières ? de Allan Pease et Barbara Pease  ↩︎
2. Les langages de l’Amour  de Gary D. Chapman  ↩︎